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Cyclomoteurs passionnants

dimanche 29 octobre 2017, par Belphegor

L’historique rapide des règlements successifs.

Dans le milieu du vingtième siècle, une foules de marques proposait un grand choix de cycles, cyclomoteurs, de vélomoteurs et de motocyclettes.
Ces catégorie de véhicules à deux roues munies d’une motorisations sont des genres de véhicules qui n’ont pas toujours existé sous ces appellations, ni avec les mêmes caractéristique réglementaires.
Le cyclomoteur est le plus bas de la gamme, avec une cylindrée inférieure à 50cm3 et une vitesse maximum de 45 km/h, le vélomoteur de cylindrée inférieure à 125cm3, se trouve entre le cyclomoteur et la motocyclette.
Si la machine franchie les limites techniques réglementaires du cyclomoteur à sa sortie d’usine, elle peut être classée vélomoteur. Un solex micron, dont la motorisation ne diffère d’un solex "normal" (c’est à dire les plus connus), et dont la vitesse maxi avoisine les 30 km/h, est considéré vélomoteur de par l’absence de pédales. Son cadre miniaturisé pour pouvoir se transporter facilement, ne peut être équipé du pédalier que le cyclo devait avoir à son époque. Le fait d’appartenir à cette catégorie engendrait l’obligation d’un permis pour les vélomoteurs et d’une plaque d’immatriculation accompagné d’un système d’éclairage muni du feux de croisement et du feux de route (appelé communément code/phare).
Avant qu’existent les deux premières catégorie on connaissait les B.M.A., Bicyclettes à Moteur Auxiliaire. Ces machines d’apparence proches aux motocyclettes de l’époque, devaient satisfaire à un cahier des charges particulier. Le poids maximum de la machine ne devait pas dépasser 30kg, la vitesse ne devait pas dépasser 30km/h, être muni d’un pédalier et d’une cylindrée inférieure à 100cm3. Dans ce cas précis, l’immatriculation n’était pas demandé, mais le règlement suivant créant les cyclomoteurs et les vélomoteurs a vu muter certains dans une catégorie et d’autres dans la seconde, notamment ceux dont la cylindrée atteignait 50cm3. Ces nouvelles dispositions ont imposé l’immatriculation aux vélomoteurs seulement, mais la limitation de vitesse à disparue pour tous jusqu’en 1963.
En cours d’année 1963, un règlement impose une vitesse maximum à tous les cyclomoteurs neufs. Pour les clients qui le souhaitaient, bon nombre de constructeurs l’avaient prévu, il était possible de déclarer une machine en vélomoteur pour ne pas subir cette restriction.
En 1977, une nouvelle réglementation pour les cyclomoteurs neufs, interdisant le changement de vitesses non automatique. Le machines neuves munies d’un sélecteur de vitesses au pied ou à main seront désormais des vélomoteurs, mais ces modèles disparaitront de l’offre des constructeurs pour la France. Au cours des années 80, le vélomoteur neuf sera limité à 75 km/h.
Ce n’est que dans les années 90 (1996 ou 1998 me semble t’il) que cette position par rapport au changement de vitesses fut revue en autorisant à nouveau la boite de vitesse mécanique et en autorisant l’absence de pédalier.

La plus grande partie des marques que l’on rencontrait dans les années 50 et 60 a disparue par fusions avec d’autres, par absorption parfois, ou tout simplement par cessation d’activités.

Le paysage actuel du deux roues est différent très différent de celui de l’époque où toute rue de ville ou de campagne était meublée d’un tel engin de façon si banale.

Ici, c’est pour moi l’occasion de présenter une petite série de vidéos principalement rencontrées sur le net qui m’ont beaucoup plu et même donné envie de faire comme eux...
Se sont généralement des vidéos posées sur certains sites mais positionnées sur You-Tube ou Dailymotion, elles ont le grand intérêt d’être des vidéos amateur qui ont un côté extraordinairement vrai, le vécu quoi ...

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